Depuis quelques temps (et mon blogue en est une preuve tangible!), mes recherches sur l'histoire du théâtre m'entraîne du côté de morale, de la vertu et de leur outil principal de sauvegarde: la censure! Le sujet est inépuisable... et toujours fascinant dans son aspect désuet. Mais est-il si désuet? Parfois, on peut presque se le demander...
Au grands maux les grands remèdes...
L'échevin (de la ville de Montréal) L. A. Lapointe fait adopter, le 31 octobre 1907 un règlement sur l'Observance du Dimanche et des bonnes moeurs et de la décence. Quelques temps plus tard, le pauvre a dû apporter un amendement à son règlement (tiré de La Presse... mais je n'ai pas retenu la date....):
Mais il n'en resta pas là. Le 23 avril 1912, le Devoir prend acte d'une autre de ses batailles: censurer le jeune cinéma qui commence à s'implanter. Le journaliste aimerait que ça aille plus loin... jusque sur la scène du théâtre! Le tout, dans une rhétorique qui ne nous surprend plus...:
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