Il est l'un des auteurs les plus avant-gardistes de notre dramaturgie québécoise dont la notoriété explosera après sa mort. Claude Gauvreau (sa biographie ici) transcende son époque avec des oeuvres phares comme La charge de l'orignal épormyable, Les oranges sont vertes et L'Asile de la pureté. Un homme torturé par ses doutes, ses angoisses, sa vie.
Ce que je n'avais jamais assimilé, de son histoire, c'est qu'il avait écrit pour des journaux, dont Le Canada. Et c'est dans celui-ci qu'il a entrepris, en 1952, une série d'articles portant sur la formation. Et c'est fort intéressant. Bon, je l'admets, que sur un blogue, c'est un peu long à lire... mais en même temps, ce qu'il a dit il y a 70 ans est encore fort valable aujourd'hui!
Comme ce premier, paru le 4 juin 1952:
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