J'ai souvent écrit sur Sarah Bernhardt. Et je le ferai encore ce matin. Parce qu'en plus de sa fascinante carrière, de sa vie elle-même théâtrale, elle avait ce don, lors de ses passages en sol américain, de déchaîné les passions. Les plumes des journalistes et chroniqueurs étaient, plus souvent qu'autrement, trempées dans le vitriol... donnant des petits morceaux de littératures journalistiques à la rhétorique acerbe. Pour preuve, les billets déjà publiés ici, ici, ici et ici.
Le Libre-Parole, journal de Québec, ne laissait pas sa place dans le concert des critiques quasi diffamatoires. En fait foi cette publication du 3 mars 1906:
Le signataire, JLK Laflamme, est un notable de Québec, ancien procureur et fondateur de la Revue Franco-Américaine parue entre 1908 et 1913 (dont on peut feuilleter ici les différents numéros).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous avez un commentaire à faire, ça peut se passer ici: