Il n'y a qu'à assister à plus d'une représentations d'un même spectacle (surtout une comédie qui, par définition, provoque généralement des réactions marquées... soit les rires!) pour voir (et ressentir!) les différentes nuances d'un public à un autre et être à même de bien comprendre comme l'une (la salle) peut agir sur l'autre (la scène) et vice-versa...
Il n'y a pas un public,
mais un assemblage informe
de spectateurs
qui n'ont ni les mêmes goûts,
ni les mêmes aspirations;
il arrive que tout à coup
cette masse inerte se galvanise
sous le coup d'une émotion commune;
à ce moment-là,
le miracle se produit [...].
C'est ainsi que le définissait Charle Dullin. Une belle définition qui rend un peu de la complexité de cette réunion de personnes qu'on tente parfois en vain de séduire...
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