Mélanie Potvin et Patrick Simard dans Avant et après
Patrick Simard, en plein massacre, dans Les Boulingrin
Josée Gagnon et Mélanie Potvin dans Gros Chagrin
Josée Gagnon et Pierre Tremblay dans Le Maître de Forges
Pierre Tremblay et Josée Gagnon dans Le Gora
Josée Gagnon et Patrick Simard dans L'honneur des Brossarbourg
Pierre Tremblay, Mélanie Potvin et Patrick Simard dans Le Petit Malade
Mélanie Potvin et Patrick Simard dans La Paix chez soi
Mélanie Potvin et Patrick Simard dans Sigismond
Mélanie Potvin et Pierre Tremblay dans La Peur des coups
Nous voici déjà arrivés à la moitié des représentation prévues. Ce qui signifie aussi qu'il en reste encore autant à faire!
Dans ces longues séries de représentations, il me prend parfois des envies, en mi-parcours, de revenir à la salle de répétition pour revoir certaines scènes... réviser des déplacements, des gestes, des intentions... modifier quelques entrées, quelques sorties, etc... Non pas que ça aille mal... au contraire!
Mais avec le temps, avec l'aisance du comédien, avec l'assurance qu'il acquiert, les risques s'accumulent: risque de prendre pour acquis ce qui doit rester rigoureux; risque de perdre une certaine spontanéité; risque de relâchement; risque de ne plus rester vigilant; bref, risque de sombrer dans une routine néfaste, une habitude. Et c'est encore plus vrai dans la comédie où le rythme, le timing, le punch sont les maîtres du jeu!
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