Dans cette seconde moitié du XIXième siècle - pétrie de moralité et de relent d'ultramontisme - les articles contre le théâtre sont nombreux. Ce blogue en est d'ailleurs rempli!
J'avoue que j'éprouve un malin plaisir à débusquer ces morceaux de littératures où la verve est flamboyante, les images sont fortes et où l'âme humaine est en voie de perdition
Comme cet autre Spectateur (souvent anonyme!) qui publie, dans le Journal de Québec du 23 janvier 1892, son opinion sur une pièce donnée au Théâtre des familles (le dernier paragraphe est savoureux!):
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