Le milieu théâtral saguenéen est petit... c'est un fait. Et cette petitesse, conjuguée à un dynamisme réel, amène aussi une certain étroitesse en ce sens que le nombre de lieux de répétitions et de représentations n'augmente pas.
Immanquablement, les calendriers se chevauchent et les disponibilités de salle fondent à vue d’œil. Les cahiers de réservations s'emplissent selon le mode du premier arrivé, premier servi.
Les compagnies s'insèrent comme elles peuvent, où elles peuvent.
La pagaille.
Idéalement, chaque compagnie gèrerait son propre lieu... aurait le plein contrôle de l'endroit où elle est fixée. Libre de présenter quand elle veut. Libre de prendre le temps de s'installer. Libre des contraintes du suivant.
Cette étroitesse amène parfois l'impression que nous nous marchons sur les pieds, que nous empiétons sur des missions et des territoires déjà investis. Et c'est le cas. Mais après tout, cela pourrait se faire sainement... si ce n'était du combat quotidien pour survivre.
Immanquablement, les calendriers se chevauchent et les disponibilités de salle fondent à vue d’œil. Les cahiers de réservations s'emplissent selon le mode du premier arrivé, premier servi.
Les compagnies s'insèrent comme elles peuvent, où elles peuvent.
La pagaille.
Idéalement, chaque compagnie gèrerait son propre lieu... aurait le plein contrôle de l'endroit où elle est fixée. Libre de présenter quand elle veut. Libre de prendre le temps de s'installer. Libre des contraintes du suivant.
Cette étroitesse amène parfois l'impression que nous nous marchons sur les pieds, que nous empiétons sur des missions et des territoires déjà investis. Et c'est le cas. Mais après tout, cela pourrait se faire sainement... si ce n'était du combat quotidien pour survivre.
Les compagnies seraient aussi libres d'ajouter des supplémentaires... ce qui n'est pas toujours possible...
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